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Le premier
responsable de l'escroquerie "annajat" à la tête du gouvernement du Maroc
Par: Benhemmou Hassan- ancien militant
du MCA
Azul ameghnas ghifun awmatengh imazighen n
tmuret nnegh i3ezzan. Azul akw f awmatengh imeghrabiyen amazighophones et
darijophones qui ont agi de façon hautement civilisationnelle pour dire non. Non
pas seulement à des pseudos partis politiques dirigés par de petits pions, mais
surtout pour dire non au makhzen archaïque et féodal au cours des élections
législatives de septembre 2007. Or cet acte hautement civilisationnel n’a pas
été compris par le régime makhzénien panarabe. Ce dernier ressemble selon
certains à une tortue qui, une fois la tempête s’élève, se cache dans sa
coquille, et qui, une fois la tempête s’arrête, sort sa tête et ses tentacules.
Ce régime anachronique continue de faire fi à plus de 40 millions de marocains.
Il persiste sur ses positions moyenâgeuses qui traitent la population comme une
plèbe soumise à un régime seigneurial féodal esclavagiste. Cette plèbe n’est aux
yeux du makhzen qu’un petit enfant mineur géré conformément aux bons plaisirs du
tuteur.
Malheureusement, c’est cette réalité qui structure le régime politique marocain.
Une réalité qui consacre un régime patriarcal dont lequel le seigneur est le
père de la nation. Ceci n’est pas propre au Maroc. Mais pour nous les marocains,
le makhzen absolutiste et archaïque joue au détriment des propres intérêts du
Maroc. Car il consacre la nature sous développée d’un pays aliéné et classé
aujourd’hui 127e derrière le Tchad sur le plan du développement par les
instances internationales.
Plus grave encore est la constitution au Maroc, après les élections législatives
de septembre 2007, d’un gouvernement dirigé par le responsable de l’escroquerie
«annajat» issu d’un parti amazighophobe. Ce choix arbitraire fait par
l’arbitraire et dans l’arbitraire est un choix dangereux pour l’avenir du pays.
Car, il consacre la médiocrité à tous les niveaux.
L’octroi du poste de premier ministre au responsable de l’escroquerie «annajat»
ne peut qu’aggraver les malheurs de ce pays. Or, ce choix reflète exactement la
nature despotique du makhzen. Mais aussi la crise du politique dans un pays
dirigé par une élite panarabiste. Ce constat de fait règne sur la vie politique
du Maroc et sème les grains de l’animosité, de la méfiance, de la frustration et
de la fin du rêve.
Or, comme disent certains: «ils veulent que le Maroc soit comme ça». Ils veulent
que le Maroc soit une petite province panarabe fédérée au moyen orient arabe et
panarabe. Ils veulent que le Maroc soit une monarchie traditionnelle et
traditionaliste, une monarchie féodale absolutiste et archaïque. Ce constat de
fait n’est pas le fruit du hasard. Car dans un pays d’illettrés et
d’analphabètes, le peuple n’a que le gouvernement qu’il mérite. L’autoritarisme
(attasallout wa ssoultawiyya comme disait l’anthropologue marocain Adellah
Hammoudi) structure l’action du makhzen. Ceci ne fait qu’aggraver le sous
développement d’un pays qui se trouve à cinq(5) siècles de l’Europe et à
quatorze(14) km de Gibraltar. Ce décalage entre la variable temps et la variable
espace stigmatise notre vécu quotidien.
Dans le Maroc d’aujourd’hui, les borgnes sont rois. Ceux ci regroupés sous la
bannière de petits paqnarabistes considèrent le Maroc comme une grande ferme
dont ils sont les propriétaires uniques et exclusifs. Cette ferme est à eux. Ils
se considèrent les seuls maîtres du pays. Des maîtres au dessus de la loi. Des
maîtres libres de voler, de réprimer, d’appauvrir, de marginaliser, d’exclure…de
faire tout ce qui leur plait dans leur propre ferme.
Aujourd’hui, à la tête du gouvernement du pays se trouve le premier responsable
du scandale «annajat». C’est un homme issu d’un parti politique considéré comme
l’un des grands (parmi les autres grands) génocidaires de l’amazighité du Maroc.
Ce parti n’est que le parti de l’Istiqlal, parti de l’istighlal. Ce parti
salafiste et panarabe jusqu’aux dents est un parti amazighophobe. C’est ce parti
qui a célébré à maintes reprises les victoires de la puissance coloniale contre
la résistance armée de nos parents et grands parents imazighen. D’ailleurs, est
ce que ce ne sont pas eux qui ont invité la France en 1912 pour écraser les
tribus amazighes qui contrôlaient ¾ du pays contre ¼ pour le makhzen?
C’est ce parti qui est responsable des innombrables génocides commis au Maroc
avant et après 1956. Mohammed Ben Abdelkrim El Khattabi dénombre plus de 9000
personnes torturées entre 1956 et 1960. Ce a torturé des centaines de marocains
dans des maisons de torture secrètes.
Dar Bricha était un véritable centre de liquidation des opposants au parti fasci.
La première maison de torture du Maroc indépendant Dar Bricha était tenue par
des istiqlaliens, où de nombreux Chouris (membres du parti de la Choura et de
l’Istiqlal) et autres y ont été torturés à partir de 1956.
«Dans l’esprit des Chouris l’Istiqlal, est leur ennemi de toujours. Abdessalam
Ouazzani, coordonnateur du parti du Choura et de l’Istiqlal dans les provinces
du nord affirme, une énième fois sans doute, que «l’Istiqlal est à 100%
responsable des atrocités qui ont eu lieu au lendemain de l’indépendance». «Le
parti d’Allal El , enlevait les militants, les torturaient, souvent à mort.
L’Istiqlal est le précurseur du crime politique au Maroc indépendant». Sans
renier cette époque sombre de l’histoire récente du pays, les istiqlali
reconnaissent les tortures, l’existence de Dar Bricha, etc.*
«Il existait bien une relation organique entre les tortionnaires et le parti de
l’Istiqlal, de l’aveu même de certains leaders actuels.»Les enlèvements se
faisaient en voiture, exécutés par des groupes sur les routes, à la sortie des
maisons, etc. Des centaines de personnes enlevées, au même moment, étaient
ensuite emprisonnées dans plusieurs maisons de tortures dans le nord du royaume.
Tout cela nécessite des moyens, une stratégie. Ce n’était pas du tout
improvisé…*
«Dès son retour d’exil, Mohammed V affirme qu’il est désormais roi de tous les
Marocains. L’Istiqlal, parti qui a toujours co-revendiqué la paternité de
l’indépendance, sent le coup venir. Fin 1955, un gouvernement pluriel est nommé,
avec un Premier ministre indépendant à sa tête (El Bekkay), 10 ministres de
l’Istiqlal et 6 du Choura. L’Istiqlal rumine sa rage et finit par revendiquer un
gouvernement homogène, menaçant de quitter celui déjà en place. En 1956,
craignant que la popularité du parti d’Allal El ne se retourne contre lui,
Mohammed V cède aux pressions et nomme Ahmed Balafrej à la tête d’un
gouvernement Istiqlali. Petit à petit, le parti tisse sa toile un peu partout
dans les institutions du jeune Etat indépendant au point de s’en confondre. «Ils
contrôlaient la police, la justice, les prisons, etc. Ils étaient gouverneurs,
procureurs et ministres. Un rouleau compresseur qui rasait tout ce qui ne lui
plaisait pas»*
«Des témoignages récents (dont celui de Abdallah Ouaggouti, grand compagnon d’Abdelkrim
El Khatib) font cependant sortir les responsables de l’Istiqlal de leurs gonds.
Ils racontent comment Allal El a personnellement visité Dar Bricha et demandé à
ce qu’on lui fasse entendre les hurlements des chouris. Et Mohammed V? Il était
apparemment au courant mais n’avait pas les moyens de contrer un parti qui
avait, à un moment, plus de pouvoir que lui. Reste Mehdi Ben Barka. Dans une
récente interview, Abdelwahed Maâch, secrétaire général du parti de la Choura et
de l’Istiqlal ne mâche pas ses mots pour accuser le leader socialiste d’avoir
orchestré tout cela avec Ahmed Balafrej… »* (des extraits de la revue journal
Tel Quel n° 172)
« Abdeslam Tawd fut enlevé et assassiné plus tard. Le parti de l’Istiqlal l’a
enlevé. Il a été torturé par… Ils le torturaient tout en s’amusant de son corps.
Il criait terriblement et les insultait. Dans le même centre de torture, il y
avait aussi d’autres prisonniers dont on n’a jamais plus entendu parler. Ils ont
disparu définitivement. Parmi eux figure le nom de Haddou Aqchich, un ancien
combattant originaire du Rif. Ils assistaient tous aux sessions de tortures. Ils
exprimaient beaucoup de joie à torturer les prisonnier : Abdelkhaleq Torres,
Allal Al- et Banouna... Parfois Mehdi Ben Barka était présent. **
« Ils torturaient tous ceux qui étaient en contact avec Abdelkrim. Abdeslam Tawd
publiait sur la première page de son journal Le Maroc Libre des articles d’Abdelkrim.
Il avertissait aussi ses lecteurs des écrits du journal Al-Ouma de Torres.
Abdelkrim a soutenu l’Armée de libération dès ses débuts. Il était l’un des
fondateurs. En même temps, le Parti de l’Istiqlal militait contre la lutte
armée, contre l’Armée de libération nationale. Abdeslam Tawd avait séjourné au
Rif. On l’a vu. Il m’a visité. Il était un responsable de l’Armée de
libération. » (** mémoire d’un combattant : témoignages de Mohand Sellam
Amezyane (1926-1996). L’interview est faite peu de temps avant sa mort en exil
aux Pays-Bas. L’interview est faite par Mustapha Aarab et édité dans son livre
Le Rif entre la monarchie, l’Armée de libération nationale et le parti de
l’Istiqlal )
C’est le chef de ce parti qui est aujourd’hui à la tête du gouvernement du
Maroc. Ce parti anti amazigh a juré de nous mettre fin et nous aussi on a juré
de lui mettre fin. L’esprit amazighophobe qui anime ce parti ne peut être pour
lui que le revers de la médaille. Car imazighen ne meurent jamais et ne peuvent
jamais mourir que jusqu’à la fin de l’histoire de l’humanité. Ce sont eux qui
vont mettre fin à l’existence panarabe en Afrique du nord. Tôt ou tard,
imazighen prendraient le pouvoir, au sens identitaire, pour établir la
démocratie amazighe dans un pays gouverné aujourd’hui par des panarabistes qui
ne connaissent de la démocratie que le nom.
Aytma imazighen yuda n ittvsv, yuda n tguni, yuda n icki, yuda n ykennu. Dadda
3etta inna yad «aterrezz ula tekwna ». awd netcni ad nini « aterrezz ula tekwna ».
aytma imazighen isanat xla que les fascis les fasis) ne veulent pas de nous. La
monarchie arabe ne veut pas de nous. Tous les panarabes ne veulent pas de nous
en tant qu’amazigh. Ils veulent faire de nous des arabes de 2e degré au service
des seigneurs arabes de 1e degré. Ils veulent faire du Maroc un grand bordel
pour servie les plaisirs sexuels des arabes. Ils veulent rendre toutes nos
femmes comme des putes pour satisfaire les complexes sexuels des petits arabes
du golfe arabo-persique. Cette réalité est fortement observable dans toutes les
grandes villes du Maroc : Rabat, Casa, Marrakech ... où des villas sont
réservées pour le tourisme sexuel.
Les panarabistes ne veulent pas de nous. Ils ont juré de mettre fin à notre
langue et à notre identité. Ils ont falsifié l’histoire. Ils ont changé la
toponymie des lieux. Ils ont interdit l’accès correct de tamazight à l’école et
à l’université. Ils ont interdit la nomination en prénoms amazighs de nos
enfants… Imazighen pour eux est un peuple qui a pris fin avec l’arrivée des
conquérants arabes. Le Maroc est un pays arabe peuplé d’un peuple arabe. Cette
anecdote est enseignée à nos enfants. Et l’histoire voire l’existence du Maroc
ne débute qu’avec l’arrivée des arabes. Ces hommes anges ont libéré le Maroc de
la jahiliya (ère des ténèbres). Quelle honte et quelle bêtise. Car comment se
fait-il pour qu’un peuple méditerranéen, comme le peuple amazigh vieux de plus
de dix milles ans (depuis la civilisation néolithique et atérienne) soit libéré
par des bédouins?
Imazighen, peuple méditerranéen connu et reconnu par tous les peuples de la
méditerranée, est un peuple de civilisation qui a marqué toute l’histoire de la
méditerranée. C’est un peuple qui a gouverné l’Egypte pharaonique, Rome et
Marrakech. C’est un peuple de rois, d’empereurs, et de penseurs. C’est un peuple
de résistants, de combattants et non pas de traîtres. C’est ce peuple millénaire
que veulent anéantir un certain abbas lfasi, bouteflika et kheddafi. Tous ces
petits amazighophobes rêvent de la mort imminente de notre peuple amazigh.
Aytma imazighen, ils ont décidé et se sont décidés de nous mettre fin. Ils sont
déterminés. Ils sont sérieux et n’épargnent aucun effort pour nous anéantir non
pas en tant qu’individus physiques mais en tant que langue, culture, identité,
histoire et civilisation. Ils veulent faire de nous des bâtards et faire du
Maroc un pays de bâtards sans identité propre. L’IRKAM ou IRKAN est une
institution mirage créée pour servir la politique du makhzen dans sa gestion du
dossier de tamazight et pas autre chose. La future télé n’aura pas lieu sauf
s’il s’agit d’un miracle. Tamazight ne sera pas officialisée ni
constitutionnalisée. La marginalisation des régions amazighes va s’accentuer
avec l’exemple d’Anfgu, Tunfit, Khnifra… et le froid va encore ôter à nos
pauvres familles leurs petits enfants. Les prénoms amazighs ne seront pas
autorisés… nous sommes victimes d’un des panarabistes du Maroc qui ne veulent
pas ni de tamazight ni d’imazighen.
L’ idéologie panarabe est une idéologie raciste implantée dans un pays amazigh
par des panarabistes racistes
Aytma imazighen baraka ghas n w awal ixwan. Baraka ghas n tutra (la
revendication). L’action du mouvement amazigh doit changer de cap. C’est fini
pour la revendication et la sollicitation. Le mouvement d’exclusion à notre
encontre ne va pas cesser et on va nous attendre à de grandes campagnes de
répression à notre égard. Les étudiants amazighs seraient toujours la cible
privilégiée des panarabes. Le génocide et l’ethnocide vont aller de pair dans
notre pays amazigh voulu être arabe.
Aytma imazighen, le Maroc ne parviendra jamais à se libérer du colonialisme
espagnol, du sous développement… tant que le Maroc d’aujourd’hui est encore
soumis au joug des panarbistes. Notre pays est gouverné et géré comme une ferme
par une élite arabiste et amazighophobe qui n’a pas été choisie par le peuple.
Une situation fortement aggravée par l’appauvrissement socioéconomique de la
population avec la hausse des prix de tous les produits de consommation. Une
agression que la population est amenée à supporter car la répression sauvage des
manifestants de Séfrou ne laisse aucune place à la contestation.
Aytma imazighen, avec l’arrivée des fassi au pouvoir depuis 1956, on a tout
perdu dans notre pays amazigh voulu être arabe par la force. Et si récemment on
parle de futures réformes constitutionnelles avec la répartition du Maroc en
neuf régions pour faciliter l’autonomie du Sahara occidental, sachez bien que
rien ne va pas changer. Car ici on change pour ne rien changer. Imazighen et à
leur tête le mouvement amazigh estudiantin rejettent l’arabisation du Maroc. Ils
ne veulent plus d’un Etat makhzanien panarabe. Ils ne veulent plus d’un Etat
dirigé par des responsables incapables de libérer les territoires du Maroc :
Ceuta, Melilla, Tura…
Aytma imazighen, conscient des grands défis qui nous menacent en tant que
peuple amazigh et en tant que pays, le MCA invite tous les amazighs du Maroc, de
l’Algérie, de la Libye, du Mali, du Niger… à mobiliser leurs forces pour mettre
fin à l’exclusion de leur identité et de leur langues amazighes. Cette
mobilisation doit être soutenue par les exigences suivantes:
1- la libération immédiate des détenus politiques amazighs, militants du MCA ;
2- l’arrêt immédiat de la politique d’arabétisation de notre peuple ;
3- la mise en place d’une assemblée nationale constituante pour élaborer une
nouvelle constitution démocratique pour un nouveau Maroc démocratique ;
4- mettre fin au pouvoir arabiste, au sens identitaire, dans les pays de
Tamazgha
5- poser les bases d’une nouvelle monarchie parlementaire à l’image
européenne ;
6- adopter le fédéralisme comme seul mode opératoire pour l’administration
du pays ;
7- consacrer l’identité amazighe du pays à travers la consécration de
tamazight comme langue officielle du pays ;
8- le retrait immédiat du Maroc de l’organisation raciste et dénommée la
ligue arabe ;
9- dissoudre tous les partis politiques panarabes et juger toutes les
personnes criminelles responsables de la destruction du Maroc : vols, violation
des droits de l’homme, abus de pouvoir, détournements des deniers publics…
10- ouvrir de grands chantiers pour reconstruire le Maroc : routes, autoroutes,
chemin de fer, hôpitaux, écoles…
11- diviser le pays en sept grands Etats fédérés autonomes avec des limites
administratives à revoir:
a-L’ETAT FEDERE DU NORD : Provinces de Tanger, de Tétouan, d’Achawen, Larache,
de Kenitra, de Sidi-Kacem).
b-L’ETAT FEDERE DE L’EST : Provinces d’Al-Hoceima, de Taza, Taounat , d’ Oujda,
de Jerada, Berkane, de Taourirt, de Figuig, de Nador, de Fès, de Boulemane, de
Sefrou, de Moulay-Yacoub).
c-L’ETAT FEDERE DU CENTRE NORD : Préfectures de Rabat, Salé, Préfectures de
Skhirat-Témara; Provinces de Khemisset, de Meknès, d’El Hajeb, d’Ifrane, de
Khénifra, de Errachidia).
d-L’ETAT FEDERE DU CENTRE SUD : le grand Casablanca, Chaouia / Ouardigha, Tadla/
Azilal, Provinces d’Ouarzazate, de Zagora).
e- L’ETAT FEDERE DU CENTRE OUEST : Ouilaya de Marrakech, provinces de Kelaat
Sraghna, de Mogador, de Safi, de Mazagan/Azemmour.
f- L’ETAT FEDERE DE SOUSS : provinces d’Agadir, Inezgane, Chtouka-Aït-Baha,
Tiznit, Taroudant, Guelmim, Tan-Tan, Assa-Zag, Tata, Tarfaya.
g- L’ETAT FEDERE DU SAHARA : Laayoune, Boujdour, Eddakhla, Awserd, Essemara.
Aytma imazighen, tamazight ur tgi ghas awal d cctihv urrdihv (le folklore) comme
pensent les petits panarabes. Imazighen ne revendiquent pas uniquement la simple
reconnaissance de leur langue par les petits panarabes. Imazighen sont des
hommes de pensée ; des hommes qui aiment la patrie. Imazighen cherchent à servir
et à diriger eux-mêmes leur pays amazigh. Donc travaillons tous pour réamazigher
le pouvoir politique. Car c’est le seul moyen qui va nous permettre de notre
identité.
Benhemmou Hassan- ancien militant du MCA
Octobre/novembre 2007
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