Hymne à un nom, à l’homme libre et fraternel
Par: Ouachrine Houssaine
J’ai longé des
rivages et couru les chemins
D’itinérants tels Azaikou, l’accoucheur des lendemains
et que d’arrêts sur les gros plis de l’histoire
m’adossant à ses épaisseurs de gloires et déboires
quêtant sur les ailes de ma soif la sublime saison
où germent floraisons et lumières de raison
dissipatrices des brumes aveuglant nos vérités
pour qu’enfin notre monde savoure la liberté
dans ses rejaillissements et sous l’égide universel:
l’amazigh-l’homme libre et libérateur éternel
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