Uttvun 73, 

Semyûr 2003

(Mai 2003)

Amezwaru

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Tamazight

Is d amezwaru n uneggar n umyey Ufqir?

Lhefyani nigh tifuzzvert n tughemsa tuoerbent

Uccen d yinsi

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Pour sortie l'oriental de la marginalisation

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عن النزوع الأمازيغي وهفواته

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بيان تضامني للاتحاد الوطني لطلبة المغرب

بيان لجمعية تلفراوت

بيان لجمعية تيفاوت

بيان استنكاري لمحمد أوشري

تأسيس جمعية تيفاوت

بيان لجمعية تافسوت

بيان لجمعية تامينوت بتيمولاي

 

Diaspora de la communauté de Tamazgha  (Maghreb) du Canada (2ème partie et fin)

Par: Arav Benyounès (écrivaiCanada)

Le Canada, malgré certaines idées reçues et des oui-dires, il reste un pays très difficile d'accès, surtout pour les gens du Sud (tiers-monde). Tout le monde est supposé avoir des droits. Comme nouveau arrivant tu paieras cher, très cher pour tes erreurs. Dans la réalité le nouveau arrivant est comme l'amérindien (l'autochtone du pays), il est relégué au rang de  la non-citoyenneté,  même s'il a acquis la citoyenneté canadienne. En cas de contestation on vous sortira toujours la phrase au moment voulu: Nul n'est censé ignorer la loi pour certains, n'oublie pas que tu es chez nous pour d'autres.

Qui d'entre nous n'a pas essayé d'expliquer à nos concitoyens (amazighophones et arabophones) les problèmes, les difficultés et les inconvénients de vivre au  Canada. Lors de nos séjours dans nos pays d'origines, on a souvent l'impression que si on ouvre l'immigration pour les pays de Tamazgha (Maghreb), tout le monde partirait. J'ai rencontré et j'ai reçu des courriers de plusieurs personnes qui se sont faites avoir par de faux consultants en immigration et par des avocats. Quand on essaye d'expliquer à nos concitoyens (amazighophones et arabophones) que seules les autorités officielles canadiennes sont habilitées à prendre une décision, personne n'écoute. Certains iront jusqu'à vous dire que dans la mesure où vous êtes déjà installé, vous n'aimeriez pas voir d'autres arriver. C'est ainsi qu'ils encouragent les faux consultants et avocats en immigration (certains de ces derniers ont même des relations très étroites avec les autorités diplomatiques des pays de Tamazgha: Maghreb) à faire fortune sur leur dos.

 

 

Quand j'ai écris en juin 2002 un livre (Entre l'Érable et le Lys: immigrant à vie) sur le rejet, la xénophobie, le racisme et les difficultés, ainsi que les inconvénients de vivre au Canada/Québec, seuls certains déjà installés se sont reconnus au départ, mais de nos jours je reçois de beaux messages de gens qui me disent merci, pour les avoir avertis et mis en garde. Certains viennent, voient et souvent repartent. Beaucoup d'ailleurs de nos concitoyens véreux ont réussi aux détriment des candidats à l'immigration à tout prix et à n'importe quel prix. Certains immigrants de Tamazgha au Canada, comme d'Europe ou d'ailleurs, exploitent et surexploitent leurs concitoyens restés aux pays en important des matériaux désuets et dépassés (gadgets, ordinateurs et autres machines non performantes et non conformes…etc.) pour les leur revendre à des prix forts, et faisant du coup des pays de Tamazgha des «poubelles» des matériaux non recyclables en Occident.

En 2001, le Canada a reçu pas loin de 250 000 immigrants,  le Québec lui a reçu plus de 37, 500 immigrants.

L'objectif de 2003 pour le Canada est de 250 000 à 300 000, soit 1% de la population canadienne quant au Québec son objectif est de 40 à 45,000 immigrants.

Tamazgha (Maghreb) est un sous continent africain:

 

-Africains:             62510

-Tamazgha (Maghreb): 26 460 (amazighophones et arabophones confondus)

-les amazighophones et arabophones de Tamazgha représentent 42% de tous les immigrants venus d'Afrique.

-65% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Québec ont moins de 44 ans,

- 31% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc ont au moins 15 ans de scolarité,

- 45% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc ont une formation universitaire, (souvent acquise chez eux ou financée par leur pays d'origine),

-98% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc  parlent et communiquent  en Français,

- 3% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc  parlent et communiquent en Anglais,

-77% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc sont dans leur grande majorité concentré dans les grands centres urbains,

 

- 18% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc sont installé aux alentours de grands centres urbains,

-5% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Qc vivant souvent en couples mixtes s'aventurent dans des régions un peu éloignées des grands centres urbain, (suivant leurs épouses pour certains ou leur travail pour d'autres).

-67% d'amazighophones et d'arabophones de Tamazgha au Canada/Québec sont en général très actifs et bien impliqués.

Si certains amazighophones et arabophones de Tamazgha au Canada/Québec sont en général très actifs et bien impliqués, d'autres demeurent cependant inactifs pour plusieurs raisons (l'âge, chômage, sécurité du revenu «RMI», manque de formation, rejet, racisme, préjugés, problème de langues, (souvent le bilinguisme est requis: français/anglais)…etc.).

Au Canada comme il a été signalé dans le premier article, les communautés de Tamazgha de confession juive et chrétienne sont minoritaires. Néanmoins elles sont présentes pour ne pas dire représentées dans différents secteurs d'activités, et très bien organisées et structurées. La communauté de Tamazgha de confession musulmane, que les autorités Canada/Québec identifient et assimilent à l'arabo-musulman est majoritaire, mais moindre comparativement à d'autres confessions venues d'ailleurs, sauf depuis la décennie 1980/1990, grâce à l'ouverture et aux échanges de plus en plus croissants entre le Canada et les pays de Tamazgha (Maghreb), elle s'agrandit. Il est très important de signaler que la grande majorité de ces immigrants de Tamazgha sont d'origines amazighes (berbères), même si certains se cachent derrière les notions nationales, dans les faits ils proviennent de régions amazighophones (berbérophones). En se référant aux petites statistiques mentionnées plus haut, on peut constater que près de 90% des immigrants provenant de Tamazgha (Maghreb) sont scolarisés: (des enseignants, des informaticiens, des professeurs d'université, des ingénieurs, des hommes d'affaires …etc.). Comme la société change vite comme partout ailleurs, on dénombre également parmi eux des chômeurs et des sans emplois, même des sans papiers ces dernières années. Tous ces gens souvent subissent le rejet, la xénophobie et le racisme comme ailleurs dans les pays du Nord, surtout pendant les périodes de crises économiques; ils sont à la fois la cible facile et les boucs émissaires. Face à cette situation de rejet, certains décident de rentrer dans leurs pays respectifs d'origine. Pour revenir au sujet abordé dans le premier article, soit la diaspora des amazighophones et des arabophones de Tamazgha (Maghreb) au Canada, voici un petit recensement d'associations qui se disent représenter les  amazighophones et les arabophones de Tamazgha au Canada. Pourrions-nous dire où sont les intellectuels? Leur reprocher leur silence, je dirais non, je comprends très bien leur recul et leur silence. Ces gens qui dans tous les pays sont «choyés» parce qu'ils ne caressent personne dans le sens du poil: c'est leur rôle social et contribution pour faire avancer les choses. Mais les intellectuels issus de  nos communautés partout où ils sont, se terrent, non pas parce qu'ils n'ont rien à dire, mais à chaque fois que l'un d'eux ouvre la bouche, on tire dessus à bout pourtant. Tout est bon pour discréditer sa personne et dénigrer ses dires, même au point d'appeler l'étranger au secours: c'est ça, le réflexe du complexe du colonisé écrivait Albert Mémmi. Pas loin de nous et plus contemporain: Ait Menguellet ne chante-il pas ces vers prémonitoires (bien avant d'être victime à son tour. Je lui souhaite longue vie, car l'Histoire nous a démontré que les siens, n'honorent les leurs qu'une fois morts): 

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Argaz agi ad itt wakkes                       Qu'il fallait écarter cet homme

Fih'el a-ntezzi a-ntenned'                   Inutile de tourner en rond

Kkest-ett a-nîiwdet wayed'    Enlevons-le, mettons un autre à la place

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Tura ur d-iqem lefhem           Maintenant toute raison a désertée

Tssub sana ur d ttali              Jusqu'au point de «non renaissance»

Anwa ig-laq ad yefhem          Qui doit gouverner    

M'ur di tqeblem nekkini        Puisque vous ne m'accepter pas, moi1

Anwa ig-laq ad yeh'kem        Qui doit gouverner?

Ur k-neqebbel keççini                                    Puisque nous ne t'acceptons pas, toi?

Tezzram amek a nexdem       Savez-vous ce que nous allons faire?

A s-nsiwel w verrani

Nous ferons appelle à un étranger

…..............................

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Il y a plusieurs associations enregistrées ou pas (certaines même ne se produisent que dans les campus universitaires, par contre d'autres ont pignons sur rue, certaines servent de relais pour contrôler les autres pour le compte des représentations diplomatiques de leurs pays). Nous ne pouvons toutes les énumérer. Mais au risque de me répéter, j'insiste sur le fait que plusieurs ne représentent que leurs représentants, d'autres sont affiliées à des partis politiques ou à des mouvements de leurs pays d'origines, et enfin celles qui sont bien nanties financièrement, et qui font beaucoup de bruits sont affiliées, pour ne pas dire au service des autorités diplomatiques des pays de Tamazgha, d'autres qui se disent indépendantes, s'adonnent à des manifestations (souvent chacune de son côté), à des communiqués, même parfois à des guerres de communiqués et à des fêtes de chants, danses et de dégustation de couscous, même pendant les célébrations importantes: d'ailleurs, vous recevrez à chaque fois autant d'invitations qu'il y a d'associations pour fêter un même événement à des endroits différents: connaissant la susceptibilité de nos concitoyens, pour ne pas dire la rancœur: c'est le dilemme de: où aller, à quelle invitation de quelle association répondre?…etc.. Dans leur ensemble, elles ont des structures basées sur des objectifs disparates, et souvent ne représentent en rien ou peu les besoins et les attentes immédiats des simples immigrants: problèmes sociaux, accueil, orientation, soutien moral, psychologique et autres…etc. Oh! Oui certains disent que c'est le travail de chacun de s'occuper de soi (revoilà l'individualisme…), d'autres disent que c'est le travail des autorités d'accueil. Il y a même qui disent que notre communauté est bien intégrée (les amazighophones), donc elle n'a pas besoin de tous ces soutiens (ceux-là même qui pensent qu'ils sont les seuls représentants de la démocratie en Algérie: la surestime de soi, en excluant les autres: très facile…). Il ne suffit pas de parler de démocratie à longueur de journée, pour  être démocrate. Ce comportement ne suffit qu'à se persuader soi-même. Les   italiens, grecques, portugais et autres communautés du Canada, se donnent d'abord des structures de soutiens sociales, morales, …avant d'aller chanter et danser, car un ventre plein et un esprit en paix seront mieux en mesure de faire avancer les choses (nous, il paraît que l'on se suffit à nous même, on a d'exemple et de leçons à recevoir de personne).  La communauté arabophone d'une certaine mesure commence à comprendre: elle a participé cette année à des restos du cœur en collaboration avec des organismes de charité canadiens (il faut reconnaître à César ce qui lui appartient). Intelligente cette participation, non! Elle mêle bonnes actions et visibilité: tout le monde en a parlé: presse écrite, radios, télévisions... Attention ici participation ne rime pas avec argent: elle est d'ordre de participation physique: bénévolat, distribution et orientation surtout des sans-abris. Participation culinaire: avec des ingrédients et du matériel fournis, ils mijotent des plats de chez eux  pour les nécessiteux et les sans abris (c'est ainsi d'ailleurs que le couscous est arabe pour les canadiens). Une fois la tâche noble de servir autrui et d'aider son prochain terminée, les raisons de chanter et de danser sont acquises, car elles représentent une satisfaction d'avoir accompli une action humaine, qui apporte reconnaissance et confort d'esprit et de paix.  

Associations marocaines:

-l'Association marocaine de la ville de Québec

- Association sportive marocaine

 

- Association musulmane de Montréal-Nord, elle regroupe

 l'ensemble des musulmans.

- Association des biologistes, les membres ne sont pas tous des Marocains.

- Le Regroupement des musulmans marocains, c'est celle qui fait le plus la promotion de la marocanité (l'arabo-islamo-baâthisme) avec une école arabe…etc.

- Fédération marocaine du Canada, elle reçoit des billets d'avions gratuit de Royal Air Maroc

Associations algériennes:

- Association des étudiants algériens au Canada.

 -Association des professionnels et universitaires algériens au Canada

 

-Association Enfants d'Algérie

-Association Office des enfants d'Algérie

 

- Averroès

- AcaOH

- Tidukkla

- Association Tirrugza

-Association Tafsut

 

-Rassemblement des Algériens du Québec

 

-Centre culturel algérien

 

-Association algérienne pour la promotion de l'éducation et l'emploi

 

-Centre Amazigh Montréal

 

-Association Pont Québec-Algérie.

 

D'autres associations algériennes d'audiences musulmanes ou culturelles ont leur champ d'action dans les campus universitaires, ou simplement acquierent leurs visibilités en annonçant de temps en temps leurs existences par de simples communiqués signés de solidarité toujours par la même personne qui la représente…..

L'implication des représentations diplomatiques des pays de Tamazgha, ne se manifeste, que quand une de ces associations veut organiser une activité et/ou manifestation dans le but de la récupérer.

Pourquoi diable tous les ambassadeurs ou les consuls des pays de Tamazgha qui se succèdent se ressemblent, à croire qu'ils sont tous comme des singes: ils ne donnent rien d'utile, ni la laine et encore moins le lait. Même leur fonctionnement est boiteux,  semblable à celui des pays d'origines. Leurs salles d'attentes est souvent une sorte de «couloir» ou les files d'attentes ressemblent à celles que l'on trouve devant les ambassades étrangères à Tamazgha (surtout en Algérie).

Se faire délivrer un passeport canadien, est souvent deux fois moins cher q'un passeport d'un des pays de Tamazgha.

Faire légaliser une signature sur un document coûte entre 20$ et 17$ selon le pays, or au Canada des organismes reconnus le font gratuitement, mais ces documents ne sont pas reconnus par les autorités des pays de Tamazgha (Maghreb), allez comprendre pourquoi? (non! Il ne faut pas aborder la rentabilité financière que cela rapporte…etc.)

Les représentations diplomatiques des pays de Tamazgha travaillent comme au début des décolonisations, donc des années 60. On abordera pas ici les nombreux excès de zèle de nombreux de leurs fonctionnaires. Les citoyens de Tamazgha qui ne sont pas enregistrés ou immatriculés possèdent des dossiers noirs au sein de leurs représentations diplomatiques. Ces dernières ne lésinent pas à payer une prime à des membres de certaines associations, et certains de leurs employés (amazighophones ou arabophones selon les cas) pour partir à la recherche de ces citoyens qui leur échappent, et qui sont en dehors de leurs fichiers. Les représentants diplomatiques des pays de Tamazgha disent qu'ils faut tout faire pour ne pas nuire à l'image de notre communauté (laver notre linge en famille), en réalité ils veulent masquer leurs agissements, souvent illégaux et illicites selon les lois démocratiques, mais légalisés et tolérés selon les pratiques despotiques de nos chers pays de Tamazgha.

 

Faut-il toujours se taire?

Une chose est sûre et affirmative, comme plusieurs auteurs qui écrivent sur les fascistes, sans êtres membres d'organisations fascistes, comme ceux qui écrivent sur les guerres sans y participer, ceux qui écrivent sur l'antiquité sans y avoir vécu, et ceux qui observent pour donner leur avis dans le but de participer à faire avancer et évoluer les choses, jamais mon horizon ne sera limité, jamais mon engagement ne sera cloîtré, jamais mes convictions ne seront ébranlées et jamais je n'accepterai la ghettoïsation. Je ne cesserai pas de parler et d'écrire malgré les incompréhensions, les interprétations, les jalousies, les insultes, les menaces, les accusations d'atteinte à la sûreté de l'État et celle de mettre en péril l'unité nationale en Algérie, ou même quand on saisit mes livres aux douanes marocaines.

NB: Ces deux articles quoique un peu longs, ne font que survoler le sujet et la problématique.

Toutes mes excuses pour cette  longueur. Pour mieux saisir l'ampleur, il faut plus qu'un livre.

Merci de votre compréhension.

 

Arav Benyounès (écrivain: Amaru, Canada)

Courriel: taralsan@sympatico.ca

Site Web: http://aravbenyounes.ifrance.com

 

NB: Tamazgha, Amazighe, amazighophones sont mes termes, car chez Stat Canada ils ignorent leurs existences. Nous sommes incapable de les faire rentrer dans le langage administratif: sur des milliers qui se disent amazighs au Canada, à peine une centaine s'est identifiée comme telle). Oui chez nous il n'y a que deux communautés nationales:  l'une amazighophone qui est ethnolinguistique à mon sens,  et l'autre  arabophone qui est linguistique (une réalité sociale incontournable: certains prétendent même qu'elle est aussi ethnique, c'est leur droit et leur choix). La langue Tamazight en est la langue maternelle de millions d'algériens, comme la langue arabe l'est pour d'autres algériens, mais pas le Français. Alors désolé pour les partisans de Molière qui s'attendent à voir  figurer les francophones en Algérie, comme une entité linguistique nationale, égale des deux premières. Pour ce qui est de l'utilisation du mot Maghreb, pour moi il se justifie parce que l'article s'adresse aussi aux arabophones, en plus d'être connu de beaucoup de monde. .

 

 

 

 

 

 

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